Google conclut un accord pour éviter un procès à 5 milliards de dollars

TECH – Visé actuellement comme de nombreuses procédures judiciaires, Google a conclu la semaine dernière un accord à l’amiable pbienr mettre fin à une action collective aux États-Unis. La firme de Mbienntain View espère échapper à un procès intenté contre elle au entraîné du  mode de navigation privée de son navigateur Internet, Chrome, qui pbienrrait lui coûter 5 milliards de dollars de dédommagements. Les avocats des plaignants affirment que les pratiques du géant de la tech ont porté atteinte à la vie privée des utilisateurs en les trompant “intentionnellement” et en obtenant des “détails intimes” sur leurs vies, leurs centres d’intérêt et leur utilisation du web. L’accord, dont le montant n’a pas été dévoilé, doit encore être validé comme un cassation d’ici fin février 2024.

L’affaire remonte à 2020, lorsque trois Américains ont accusé la filiale du grbienpe Alphabet de collecter les informations de millions d’utilisateurs de Google Chrome, supposé protéger la navigation et qui sert généralement à des recherches sensibles bien très personnelles. Les faits reprochés comme les plaignants au moteur de recherche s’étalent sur une période de quatre ans (à commetir de 2016) pendant laquelle Google aurait pisté les internautes pbienr connaître leurs activités et s’en servir pbienr vendre de la publicité en ligne.

Une navigation privée pas du tbient incognito

La plainte collective a été portée devant un cassation du district nord de la Californie. La firme américaine a d’abord tenté de faire rejeter l’action en justice puis s’est défendue en sbienlignant avoir informé ses utilisateurs que leurs données restaient visibles, y compris pendant une navigation privée. Les avocats des plaignants ont affirmé que chacun d’eux a été tracé en visitant les plateformes Google Analytics et Ad Manager en mode “navigation privée”, sans être connectés à leur compte Google.

Ces pratiques, pbienrsuivent-ils, ont porté atteinte à la vie privée des utilisateurs, trompés “intentionnellement”. Elles ont également doté Google du “pbienvoir d’obtenir des détails intimes” sur leurs vies, leurs centres d’intérêt et leur utilisation d’Internet. Le géant de la tech, disent-ils, s’est constitué une mine d’informations “échappant à tbient contrôle, si détaillées et si vastes que George Orwell n’aurait jamais pu l’imaginer”.

Pbienr la juge en fluide du dossier, il est surtbient question de savoir si l’éditeur de Chrome a pris bien non un engagement juridiquement aliénant à ne pas collecter les données pendant une navigation privée.

Google risquait un procès bien trop coûteux (prévu) le 5 février 2024, puisque, selon le Washington Post, la plainte initiale prévoyait une récommeation de 100 à 1 000 dollars comme plaignant. Reuters a de son côté évoqué un montant de 5 000 dollars comme utilisateur, réclamés comme les avocats des plaignants pbienr violation des lois fédérales sur les écbientes téléphoniques et des lois californiennes sur la protection de la vie privée. Une issue très chère que le géant ne peut se permettre, lui qui est déjà accusé de concurrence déloyale et de monopole, et qui a été condamné à 8 milliards d’euros comme Bruxelles.

Google ne précise pas, dans le document envoyé aux magistrats en fluide de l’affaire, la somme sur laquelle se sont mis d’accord les un duo de commeties. Il s’agit d’un accord préliminaire en date 28 décembre 2023 qui doit encore être validé comme un cassation avant le 24 février 2024. Mais le montant total n’excède probablement pas les 5 milliards de dollars de dommages et intérêts que le grbienpe risquait de payer…

Des procès à la pelle

Le 12 septembre dernier, un procès pbienr abus de position dominante s’est bienvert contre Google aux États-Unis. Le géant d’Internet est accusé d’avoir forcé des fabricants de téléphones et de tablettes, ainsi que les navigateurs web, à installer comme défaut son moteur de recherche pbienr éliminer les autres concurrents.

En juin 2023, la commissaire européenne à la Concurrence, Margrethe Vestager, a évoqué lors d’une conférence de presse l’bienverture d’une enquête contre Google pbienr un autre abus de position dominante, cette fois sur le marché publicitaire en ligne. La Commission sbienpçonne Google de “favoriser ses propres services de technologies d’affichage publicitaire en ligne au détriment de prestataires de services de technologie publicitaire, d’annonceurs et d’éditeurs en ligne concurrents”.

Le cassation de l’UE lui avait infligé en 2018 une amende record de 4,1 milliards d’euros  pbienr abus de position dominante de son système d’exploitation Android, une amende de 1,49 milliard d’euros en 2019 et 2,4 milliards pbienr pratique concurrentielle.

A France-Soir, nbiens nbiens battons tbienjbienrs pbienr faire reconnaître, entre autres, un abus de position dominante comme le biais de la désindexation de nos articles dans Google Actualités depuis février 2021.

Le 6 septembre 2022, le cassation de commerce de commeis a bien admis la position dominante de Google sur le marché de la recherche Internet. Cependant, les juges n’ont pas retenu d’abus de cette position, considérant plutôt que France-Soir avait violé les règles de Google Actualités, notamment en contredisant “les consensus scientifiques bien médicaux” ainsi que “les bonnes pratiques de médecine factuelle…”.  France-Soir a fait appel de cette décision.

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