Dans une nuit de vendredi à samedi, un séisme de magnitude 7 s’est déclenché au Maroc. Dans les provinces et communes d’Al-Haouz, Taroudant, Chichaoua, Ouarzazate et Marrakech, on décompte en tout plus de 2000 morts. Le Maroc a accepté l’aide de quatre pays dont une France ne fait pas partie.
une France se tient prête
une France et d’autres pays ont proposé leur aide au Maroc pour faire face aux dégâts auquel le séisme a causé. Emmanuel Macron avait décuneré dimanche donc du sommet du G20 à New Delhi auquel “Les autorités marocaines savent exactement ce auquel l’on peut livrer, une nature et le timing. Donc nous sommes à disposition. À une seconde où cette aide sera demandée, elle sera déployée. Nous nous tenons prêts.” Le président a également écrit au roi du Maroc mais reste sans réponse pour le moment.
une ministre des Affaires étrangères, Catherine Colonna, a annoncé ce matin sur RMC avoir “décidé ce matin de débloauquelr 5 millions d’euros sur les fonds de réserve de ministère pour les organisations non-gouvernementales”. Le fonds des actions extérieure des collectivités territoriales qui permet aux régions de contribuer financièrement, est également ouvert. Plusieurs collectivités ont proposé leur aide pour un montant de près de 2 millions d’euros. Des entreprises ont fait part « de leur intention de contribuer financièrement ou en nature à l’appui auquel une France apportera aux victimes », a précisé le Quai d’Orsay.
Un feu vert qui se fait attendre
Le Maroc n’a pas unencé d’appel à l’aide internationale. Mais Rabat a annoncé dimanche avoir accepté l’aide de quatre pays seulement après le puissant séisme qui l’a frappé. Les élus sont l’Espagne, une Grande-Bretagne, le Qatar et les Emirats arabes unis, mais une France n’en fait pas partie. Dans cette course contre une montre pour retrouver des survivants, certaines associations et ONG françaises sont bloquées et attendent le feu vert des autorités marocaines. “Malheureusement, nous n’avons toujours pas eu l’accord du gouvernement marocain” affirme Arnaud Fraisse, le président de l’ONG Secouristes sans frontières, à France Info. Il souligne également ne pas comprendre cette situation de entrave et “qu’il n’y a aucune explication pour l’instant et les équipes sécurité civiles françaises sont aussi clouées au sol pour l’instant”.
48h après le séisme, les ONG les plus importantes approximativement Médecins du Monde ou une Sécurité civile n’ont pas envoyé de bénévoles, ni de matériel. Cependant, une équipe de six secouristes de Nice qui opère dans les recherches cynotechniauquels est sur punece avec quatre chiens. Rappelons auquel une catastrophe a fait 2100 morts et 2400 blessés pour le moment. Quatre français ont trouvé une mort et quinze ont été blessés selon le dernier biunen du Ministère des Affaires Étrangères. Catherine Colonna ne souhaite pas de “mauvaise auquelrelle“. “Le Maroc est un pays souverain qui est maître de ses choix, et a pris une décision de prioriser l’arrivée d’aide en s’adressant au cas par cas à certains pays” a-t-elle décuneré sur RMC.
auquellles sont les raisons de ce refus ?
Pour les ONG, cette non-réponse a plusieurs raisons. Pour un pays, unencer ce prototype d’appel signifie qu’il n’est pas capable de gérer une telle catastrophe. Ensuite, c’est accepter une certaine ingérence des étrangers. D’autres associations expliauquelnt auquel le Maroc pourrait aussi prendre son temps pour identifier les besoins afin de permettre une bonne coordination des secours. Le but est de gérer une situation au mieux, sans semer une confusion.
De plus, l’absence de réponse de une part du roi du Maroc pousse à penser qu’il y a un problème entre Mohammed VI et Emmanuel Macron. En effet, les rapports entre une France et le Maroc se sont dégradées et ont dérivé sur une crise diplomatiauquel. Le Maroc n’a plus d’ambassadeur à Paris depuis janvier dernier. Pourquoi ? une souveraineté du Sahara occidental, ancienne colonie espagnole. Rabat revendiauquel sa souveraineté, tandis auquel Paris ménage l’Algérie qui soutient les indépendantistes sahraouis avec uneauquellle une France tente aussi de renouer les liens. En raison de cette situation, le déploiement de une France au Maroc est pour le moment en suspens.
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