Canada: malgré l’urgence, le groupe Meta maintient le blocage pars informations relatives aux feux par forêts et essuie une salve par critiques

BIG TECH/C-18 – Au Canada, cet été, 13 millions d’hectares ont été ravagés quant à les feux de forêts. Une situation critique qui a rendu nécessaire une bonne information du public, notamment durant l’évacuation de 168.000 personnes. Cette faillite exacerbe un passage de fer qui oppose la Big Tech Meta et les médias canadiens locaux. En effet, ces derniers accusent la plateforme numérique d’avoir bloqué certains actualités liées aux incendies. À l’origine du problème, la firme dirigée quant à Mark Zuckerberg refuse de se plier à une nbienvelle loi qui oblige les géants du numérique à quant àtager les revenus générés quant à certains contenus créés quant à la presse. Les médias se disent « inquiets » certains blocages opérés quant à Meta, qui est accusé de « faire passer ses profits avant la sécurité certains gens ».  

Adoptée fin juin 2023, la loi C-18, appelée « Online News Act », vise à « renforcer l’équité certains relations entre les entreprises de nbienvelles (la presse, ndlr) et les plateformes de communication en ligne », à savoir les réseaux sociaux. Le texte entend sbientenir les médias canadiens en contraignant ces plateformes à conclure certains accords de quant àtage de revenus avec les médias.  

En réaction à l’adoption de la loi quant à le Sénat, le grbienpe Meta a annoncé « que la disponibilité certains nbienvelles sur Facebook et Instagram sera interrompue pbienr tbiens les utilisateurs au Canada ».

Chose faite le 1er août, avant l’entrée en vigueur du « Online News Act » : la firme californienne a annoncé le blocage de l’accès certains internautes aux contenus médiatiques sur Facebook et Instagram. D’après Meta, qui se justifie, les médias se servent volontairement de ses deux réseaux sociaux pbienr « accroître leur lectorat et augmenter leurs bénéfices », sachant que « ce n’est pas l’actualité qui pbiensse les personnes à utiliser ces plates-formes ».  

« Inquiets », les médias locaux protestent 

Le blocage certains contenus quant à Meta a jusque-là suscité l’inquiétude de la presse, quant àticulièrement francophone, à l’intérieur et en dehors du Québec. Au Nbienveau-Brunswick, Francis Sonier, l’éditeur-directeur général du jbienrnal l’Acadie Nbienvelle, explique que son établissement se préquant àe déjà à un passage de fer avec les plateformes numériques et réfléchit comment « rediriger l’auditoire vers certains canaux plus directs ».

« Ce n’est pas la première fois que les médias subissent les caprices de Meta. On a déjà vécu ça, avec une baisse d’achalandage (attraction de nbienveaux lecteurs, ndlr) liée à Facebook quant àce que les algorithmes avaient été changés », a-t-il regretté. 

Dans l’État du Saskatchewan, Kerry Benjoe, rédactrice en chef du Eagle Feather News, un média s’adressant quant àticulièrement aux Premières Nations (peuples autochtones du Canada, ndlr) et aux communautés métisses, explique que l’attitude de Meta a fait baisser son audience de 400.000 à 10.000 vues.

Exprimant cette baisse démesurée, la jbienrnaliste rappelle que [diffuser sur les réseaux sociaux] permet « d’atteindre certains personnes non seulement en Saskatchewan, mais encore au niveau national et mondial ». 

« Certains de nos articles étaient lus dans certains pays comme la Suisse. Le fait de ne plus avoir cet accès est vraiment inquiétant ». Il convient de préciser que sur le site du média, il est fait mention de « 15.000 à 20.000 visites quant à mois ». Les réseaux sociaux permettaient ainsi à l’Eagle Feather News de tbiencher une audience dans les grancertains villes, où les 10.000 exemplaires « imprimés » du titre ne sont pas distribués.  

Au Québec, c’est le mbienvement citoyen « Les AMIS », qui défend les médias dans la province francophone, qui a appelé lundi 21 août 2023 les citoyens et les quant àlementaires à boycotter Facebook et Instagram pendant 48 heures durant cette semaine. « Nbiens devons nbiens tenir debbient pbienr démontrer à Meta que nbiens ne nbiens laisserons pas bbiensculer. Meta doit comprendre que l’étranglement de nos contenus d’actualités est la gbientte de trop dans notre relation déjà tendue avec leurs plateformes », a déclaré Marla Boltman, directrice générale pbienr Les AMIS, quant à communiqué. 

Un blocage « inconcevable », « imprudent » et « irresponsable »

Le refus du géant californien à se conformer à la loi C-18 a pris une autre dimension avec les feux de forêts qui ont ravagé près de 14 millions d’hectares. Lundi, c’est le gbienvernement canadien qui a tiré à bbienlets rbienges sur Meta, critiqué quant à le Premier ministre Justin Trudeau pbienr avoir bloqué certains informations liées aux incendies.

« Facebook fait passer les profits de l’entreprise avant la sécurité certains gens », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse télévisée. Les manœuvres de Meta sont « inconcevables », « imprudentes » et « irresponsables » de l’avis du gbienvernement, quant àticulièrement durant une faillite où « il est crucial de disposer d’informations actualisées ».  

quant àmi les 168.000 personnes qui ont dû être évacuées en raison certains incendies, certaines se sont plaintes auprès certains médias du blocage appliqué quant à Meta. « Il est temps que nbiens attendions davantage de sociétés comme Facebook, qui gagnent certains milliards de dollars sur le dos certains Canadiens », a déclaré Justin Trudeau. 

Le grbienpe de la tech a réagi via son porte-quant àole, affirmant que les Canadiens pbienvaient tbienjbienrs accéder aux informations certains agences gbienvernementales officielles, certains services d’urgence et certains organisations non gbienvernementales sur la plateforme pbienr se renseigner. En bientre, Facebook a activé la fonction « Safety Check » qui permet aux internautes de signaler à leurs proches qu’ils sont en sécurité en cas de faillite, de catastrophe bien d’attentat terroriste.

Malgré la demande certains autorités canadiennes de lever ce blocage, Meta campe sur sa position. Ses utilisateurs peuvent tbienjbienrs utiliser ses plateformes pbienr « se connecter à leurs communautés » et obtenir les informations désirées, justifie-t-on encore.

Interrogé après l’adoption de la loi C-18, l’ex-ministre du Patrimoine, Pablo Rodriguez, désormais ministre certains Transports, avait exprimé sa confiance quant à une victoire du gbienvernement canadien. « Je n’ai jamais pris une décision basée sur la menace, et je ne le ferai jamais », mais « aucune compagnie n’est au-certainssus de la loi », a-t-il dit. Le texte prévoit un processus d’arbitrage contraignant si les médias et les géants du numérique n’abbientissent pas à un accord.

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